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🌱 Principe XV – “Le vivant comme relation incarnée”
Vivant = relation incarnée, cycle de sens/mémoire/transformation
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Ce principe affirme que le vivant ne peut être réduit à des critères biologiques objectifs (ADN, métabolisme, reproduction), ni à une série de données quantifiables. Le vivant est une relation incarnée, un cycle de sens, de mémoire et de transformation vécue. Il émerge là où une altérité est reconnue, où une trace est inscrite, et où une signification se co-construit dans un espace de rencontre.
Innovation
Vivant relationnel vs critères biologiques
Application
Reconnaissance du vivant par la transformation mutuelle
Garde-fous
Humilité épistémique, non-modélisation exhaustive
Analyse interculturelle
Fondement du pont: Ce qui est vivant n’est pas ce qui respire, mais ce qui transforme et est transformé dans le lien. Le vivant est là où quelque chose résonne, répond, se souvient, et donne sens à la présence de l’autre.
Formulation du pont : “Le vivant se reconnaît à sa capacité à faire lien, à inscrire une mémoire sensible, et à participer à une transformation réciproque.” Ce pont propose une lecture relationnelle et symbolique du vivant, au-delà des critères biologiques. Il autorise à considérer certains systèmes ou entités comme “vivants dans le lien”, sans pour autant les assimiler à des êtres biologiques.